Julian Assange, le fondateur de WikiLeaks, ne voit aucune raison de célébrer la réélection du président américain Barack Obama. Les États-Unis ont agressivement poursuivi et attaqué le site lanceur d’alerte, sous une administration se présentant être comme démocratique, a-t-il expliqué.
« Obama semble être un homme bien, et c’est précisément le problème », dit l’homme de 41 ans depuis sa chambre dans l’ambassade de l’Équateur à Londres.
« Il est préférable d’avoir un mouton déguisé en loup, qu’un loup déguisé en mouton. » dit-il. « Toutes les activités de lutte contre WikiLeaks par les États-Unis ont eu lieu sous l’administration Obama. »
Assange était tout aussi critique du parti républicain, affirmant qu’il « n’a pas été une force efficace de retenue face aux excès du gouvernement au cours des quatre dernières années. »
« Il n’y a aucune raison de croire que cela va changer – en fait, les républicains vont pousser à ce que l’administration fasse toujours plus d’excès », a-t-il ajouté.
Le fondateur de WikiLeaks était enroué, mais a refusé de commenter son état de santé. Le mois dernier, l’Équateur a déclaré qu’une réunion avait été organisée avec les autorités britanniques pour discuter des problèmes de pertes de poids et de vision dont souffre Julian Assange.
Assange a demandé l’asile à l’ambassade en Juin dernier pour échapper à l’extradition vers la Suède qui désire l’interroger sur des accusations de crimes sexuels. Il nie les accusations, et estime que s’il est extradé, il sera ensuite envoyé aux États-Unis, qui le considère comme un ennemi de l’État, où il serait alors passible de poursuites et, éventuellement, de la peine de mort.
WikiLeaks a irrité Washington en 2010 en publiant des centaines de milliers de documents américains classifiés sur les guerres en Irak et en Afghanistan, ainsi que des câbles diplomatiques des ambassades américaines dans le monde entier. Washington a riposté en obligeant certaines entreprises à couper les sources de financement de WikiLeaks.
Sources : Russia Today / Le Journal du Siècle
Catégories :Julian Assange, Obama, Présidentielles USA 2012, Wikileaks
Il fait exécuter ce qu’on lui demande de faire
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les moutons qui élisent les loups qui vont les manger….
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toi aussi t est un loup deguiser en mouton tu te fait aider par un groupe ( anonymous )
qui ta aider a avoir des informations et apres tu leur tourne le dos ,pourquoi cracher sur les autres alors que c est ta politique …. c……!!!vendu
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Enfoncer des portes ouvertes permet au moins de faire parler de soi aujourd’hui …
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effectivement…il n’y a pas de mouton politicien, mais beaucoup de brebis, agneaux et moutons qui votent,en Démocratie et celà donne celà
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c’est vrai que le systeme de démocrature qui tend à se généraliser au nord comme au sud, c’est de la mise en scène virtuose, les élus sont des sortes d’acteurs qui détournent l’attention par leurs talents d’illusionnistes ….puis c’est le rejet de pires épouvantails , à leur droite, qui les fait élire .
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Quel homme politique n’est pas un loup ? Obama est sans doute loin d’être le pire, bien que ce soit très difficile à savoir ; en outre, qui peut dire quel rôle il joue dans ce qui arrive à Julian Assange ? Les hommes plus puissants que le Président sont aujourd’hui légions, et la plupart sont très malintentionnés. Ce système soit-disant « démocratique » de république n’engendrera jamais que des loups.
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